Tintoret, Léda et le cygne, 1555, Uffizi, Florence 
Le désir de force et de grâce a poussé les artistes à exagérer la musculature comme pour imiter Michel Ange, le goût de lignes sinueuses comme chez Botticelli et Corrège,
On peut admirer la musculature de Leda, les couleurs vivantes, le corps nu délimité par des lignes sinueuses, chair épanouie.Tintoret ajoute en abondance décor, couleurs, plis. Il y a quelque chose d'artificielle dans la pose de la jeune femme, plus allégorique que réelle. Il existe dans le geste de Léda qui repousse le cygne, une force et une ambigüité. Le mouvement du cygne avec le bec ouvert cherchant le contact avec la chair de Léda peut témoigner de l'ardeur du désir sexuel de Zeus transformé en cygne pour accéder au lit de Léda.
 

Tintoret, Léda et le cygne, 1555, Uffizi, Florence

Le désir de force et de grâce a poussé les artistes à exagérer la musculature comme pour imiter Michel Ange, le goût de lignes sinueuses comme chez Botticelli et Corrège,

On peut admirer la musculature de Leda, les couleurs vivantes, le corps nu délimité par des lignes sinueuses, chair épanouie.
Tintoret ajoute en abondance décor, couleurs, plis. Il y a quelque chose d'artificielle dans la pose de la jeune femme, plus allégorique que réelle.
Il existe dans le geste de Léda qui repousse le cygne, une force et une ambigüité. Le mouvement du cygne avec le bec ouvert cherchant le contact avec la chair de Léda peut témoigner de l'ardeur du désir sexuel de Zeus transformé en cygne pour accéder au lit de Léda.

 

Tintoret-Leda Les Ménines – Diego Velázquez
2 sur 10