Il est difficile de négliger l'importance de l'inconscient dans le comportement humain. Dans certains cas, les personnes agissent comme des machines laissant à leur inconscient le pouvoir de façonner leur conduite.
Parfois, on se répète
Ludivine raconte certains détails de sa vie sentimentale pour arriver à une étrange conclusion : j'ai toujours rencontré le même type d'homme, des hommes autoritaires, complexés et inquiets. Toujours le même schéma, je suis séduite par l'autorité de ces hommes, puis quand je découvre que cette autorité est fausse, autorité de masque qui dissimule hésitation et faiblesse, je cesse d'être séduite. Je quitte cet homme pour chercher un autre autoritaire.
Pendant cette relation, je subis l'autorité névrosée de ces hommes : violence verbale, mépris, gestes menaçants, et aucun engagement. Au début, on parle d'apprentissage, d'adolescence puis on découvre qu'il s'agit d'un comportement qu'on répète, d'un automatisme "malheureux".
Cet inconscient composé de peur, de complexe, de désir, danoises, de la recherche de compensations peut créer les personnes-machines, ces hommes qui suivent le même chemin, pensant qu'il s'agit de leur volonté ou de leur libre choix.
Prenons le cas d'un petit chef, autoritaire. Il ne cesse de répéter je veux, j'exige, cherchant à dominer les autres, cédant à l'illusion de la puissance. Il est toujours tiraillé, sous tension, menacé par le moindre relâchement de son autorité, crispé pour cacher sa faiblesse, son anxiété, ou sa peur. Parfois, ce petit chef se rend compte qu'il agit par inconscience, il se calme, découvrant l'absurdité de son comportement sans motivation réelle. Puis il recommence, la tension et la peur le tyrannisent à nouveau. Son autorité devient tyrannie, il provoque l'hostilité des autres alors qu'il cherche leur approbation.
Dans d'autres cas, l'inconscient peut dicter des comportements différents comme le comportement de retrait, l'hésitation, ou l'agressivité. L'entourage ne se trompe pas. Quand le comportement est étrange, sans motivation réelle, disproportionné, on comprend que cette personne se comporte pour des raisons inconscientes ou inexpliquées. Ce comportement dicté par l'inconscient, cet automatisme peut parfois gâcher la vie du couple, la vie de la famille.
La jalousie est un exemple de ce comportement involontaire, la personne jalouse souffre inconsciemment d'une mauvaise estime de soi, une expérience passée indigeste, de souffrances anciennes. La jalousie se déclenche sans raison valable, d'une façon disproportionnée, excessive. L'inconscient agite des peurs, dicte le comportement de la personne jalouse.
Pour échapper à ce comportement dicté par l'inconscient, il est important de connaître son état physique et mental, d'en tenir compte, de savoir se contrôler, d'imposer à l'inconscient un comportement raisonné et réfléchi. L'éducation nous offre des idées, qui peuvent devenir des idées inconscientes, qui peuvent faire agir de façon involontaire. Nous pouvons détecter ces idées, les dépister, pour les critiquer, ou les modérer. Nous portons, en nous, les idées des autres, les idées de nos parents, les idées de notre société, les idées de notre culture. Nous pouvons à chaque instant vérifier la véracité et la justesse de ces idées, leur influence sur le comportement de chacun, leurs bienfaits, et leurs inconvénients.
En analysant nos idées, en réfléchissant à nos actes, nous pouvons contrer progressivement ces idées qui agitent notre inconscient, et qui nous dictent notre comportement. C'est d'être conscient de soi, de ses besoins, ses peurs, ses limites. En validant nos besoins, en identifiant nos peurs, nous pouvons sortir de l'automatisme, abandonner un comportement automatique, pour dominer notre inconscient. Nous maîtrisons ainsi nos impulsions, et nos attitudes.
Nous pouvons arriver à un comportement raisonnable, souple, capable de s'adapter avec les changements de notre environnement sans déclencher l'anxiété, ou la peur. La psychanalyse peut nous aider à découvrir certains points de notre inconscient, le traitement comportemental peut aider à contrôler le comportement et à résister à l'automatisme, la prise de conscience peut améliorer notre capacité à modérer nos réactions. L'essentiel est d'agir.
Cet inconscient composé de peur, de complexe, du désir, des angoisses, de la recherche des compensations peut créer les hommes machines, ces hommes qui suivent le même chemin, pensant qu'il s'agit de leur volonté ou de leur libre choix. Prenons le cas d'un petit chef, autoritaire. Il ne cesse de répéter je veux, j'exige, cherchant à dominer les autres, cédant à l'illusion de la puissance.
Il est toujours tiraillé, sous tension, menacé par le moindre relâchement de son autorité, crispé pour cacher sa faiblesse, son anxiété, ou sa peur. Parfois, ce petit chef se rend compte qu'il s'agit par inconscience, il se calme, découvrant l'absurdité de son comportement, sans motivation réelle. Puis il recommence, la tension et la peur le tyrannise à nouveau. Son autorité devient tyrannie, il provoque l'hostilité des autres alors qu'il cherche leur approbation.
Dans d'autres cas, l'inconscient peut dicter des comportements différents comme le comportement de retrait, l'hésitation, ou l'agressivité.
L'entourage ne se trompe pas. Dans le comportement est étrange, sans motivation réelle, disproportionné, on comprend que cette personne se comporte pour des raisons inconscientes ou inexpliquées.
Ce comportement dicté par l'inconscient, cet automatisme peut parfois gâcher la vie du couple, la vie de la famille. La jalousie est un exemple de ce comportement involontaire, la personne jalouse souffre inconsciemment d'une mauvaise estime de soi, une expérience passée indigeste, de souffrances anciennes. La jalousie se déclenche sans raison valable, d'une façon disproportionnée, excessive. L'inconscient agite des peurs, dicte le comportement de la personne jalouse.
Pour échapper à ce comportement dicté par l'inconscient, il est important de connaître son état physique et mental, d'en tenir compte, de savoir se contrôler, d'imposer à l'inconscient un comportement raisonné et réfléchi. L'éducation nous offre des idées, qui peuvent devenir des idées inconscientes, qui peuvent négliger à agir de façon involontaire. Nous pouvons détecter ces idées, les dépister, pour les critiquer, ou les modérer. Nous portons, en nous, les idées des autres, les idées de nos parents, les idées de notre société, les idées de notre culture. Nous pouvons à chaque instant vérifier la véracité et la justesse de ses idées, leur influence sur le comportement de chacun, leurs bienfaits, et leurs inconvénients.
En analysant nos idées, en réfléchissant à nos actes, nous pouvons contrer progressivement ses idées qui agitent notre inconscient, et qui nous dictent notre comportement. C'est d'être conscient de soi, de ses besoins, ses peurs, ses limites. En validant ses besoins, en identifiant ses peurs, nous pouvons sortir de l'automatisme pour abandonner un comportement, pour dominer notre inconscient. Nous maîtrisons ainsi nos impulsions, et nos attitudes. Nous pouvons arriver à un comportement raisonnable, souple, capable de s'adapter avec les changements de notre environnement sans déclencher l'anxiété, où la peur.
La psychanalyse peut nous aider à découvrir certains points sur notre inconscient, le traitement comportemental peut aider à contrôler le comportement et à résister à l'automatisme, la prise de conscience peut améliorer notre capacité à modérer nos réactions. L'essentiel est d'agir.
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